Notre analyse

Ce calendrier, rendu possible par la décision du préfet du 27 septembre dernier, ne signifie pas que notre association a renoncé. Notre avocat étudie actuellement le dossier, non pas par "jusqu’au boutisme", mais parce que nous estimons, au regard des décisions prises par les communes de l’agglomération qu’un tel projet par son dimensionnement, méconnaît l’esprit des réglementations récentes et les perspectives fiscales ; surtout obère les possibilités de réduction des déchets dont dispose notre département.
Les actions qui seront menées dans les prochaines semaines pourraient donc d’évidence avoir des conséquences sur ce calendrier.