Notre analyse

Vous pourrez lire ici : l’intégralité de la lettre de FNE.
A juste titre, l’article retient la tonalité particulièrement ferme de ce courrier, peu commun pour une association, FNE, connue pour sa modération.
En particulier, l’article reprend un passage cinglant du courrier : « Le fait que des projets d’incinérateurs ou de décharges soient autorisés , alors même que les plans n’ont pas encore été approuvés et que la concertation bat son plein, vient clairement biaiser et décrédibiliser l’exercice de planification, en le vidant de toute sa substance.
La situation est d’autant plus problématique que plusieurs régions, à l’instar de l’Auvergne -Rhône-Alpes, du Grand Est, de l’Ile-de-France ou de l’Occitanie, sont déjà excédentaires dans certaines de leurs capacités de traitement
 »

A la veille de l’ouverture de la nouvelle enquête publique et d’une réunion publique, lundi 26 mars, nous alertons de nouveau les élus et les citoyens. Nous leurs demandons l’application de ce gel qui permettra aux uns et aux autres de reprendre la main sur un dossier dont les données ne sont plus les mêmes qu’il y a 10 ans.

En effet, la loi NOTRe sur laquelle s’appuie le courrier de FNE, mais aussi la généralisation prochaine de la tarification incitative, de la collecte des bio-déchets et encore l’objectif réaffirmé de recycler 100% des plastiques changent profondément les choses.